Au moment où débute la COP29, où plusieurs dirigeants mondiaux satisfaits d’eux-mêmes se rencontreront à Bakou, en Azerbaïdjan, pour des séances de photos, des repas servis par des traiteurs et, bien sûr, des discussions sur des objectifs climatiques qu’ils n’ont pas l’intention d’atteindre, SubMedia, en collaboration avec Peter Gelderloos, a le plaisir de présenter la première partie d’une série de trois épisodes : La Révolution ou la Mort.
La première partie de cette série s’intéresse à la montée en puissance du capitalisme vert et remet en question les affirmations gratuites de ses partisans. Soutenues par le soutien indéfectible et non critique des ONG, les entreprises du secteur de l’énergie se présentent comme des innovateurs de pointe dans le domaine des technologies de l’énergie verte, tout en se protégeant via leur portefeuille diversifié qui regorge toujours d’investissements dans les combustibles fossiles.
Les deux prochains numéros traiteront des luttes autochtones et anarchistes pour la terre et l’autonomie et de la façon dont les communautés locales peuvent s’organiser pour renforcer leur résilience face à l’aggravation de la catastrophe climatique.
Les effets de ce changement climatique incontrôlable sont déjà là. Si les 50 dernières années d’éclairage au gaz ont clairement montré une chose, c’est que les politiciens et les entrepreneurs qui se sont lancés dans la course à l’énergie verte ne privilégieront jamais les intérêts de la vie sur Terre à leur quête de profits. Qu’allons-nous donc faire ?
Pour en savoir plus sur le travail de Peter Gelderloos, nous vous invitons à lire : « Stratégies pour une révolution écologique et populaire », « Comment la non-violence protège l’État : Essai sur l’inefficacité des mouvements sociaux » et « L’Échec de la non-violence ». Tous publiés par https://www.editionslibre.org/